La guerre en Ukraine a mis en évidence la nouvelle révolution amenée sur le champ de bataille par les drones. Du plus complexe (le Predator) au plus simple vendu dans le commerce pour moins de 80 euros, les drones ont transformé la guerre conventionnelle comme la guérilla grâce à l'utilisation de l'intelligence artificielle qui permet même une attaque massive avec des essaim de drones. Par voie de conséquence, cette guerre, technologique à 100%, entraîne une concurrence acharnée entre les États-Unis, la Chine, Israël, l'Iran, la Turquie, la France et l'Allemagne.
Qui sera la prochaine superpuissance ?
Par exemple, l'armée ukrainienne a utilisé des drones à 100 euros pour détruire non seulement des centaines de chars russes à environ 2 million d'euros pièce, mais également des navires de guerre dont le prix unitaire dépassait les 80 millions!
Idem dans la bataille de Mossoul où les drones artisanaux de l'Etat islamique avaient transformé la vie des soldats et civils irakiens en enfer.
Avec son enquête approfondie, le journaliste Seth J. Frantzman vous emmène aussi bien au sein des services Action de divers pays qu'au siège de la CIA où cette nouvelle technologie est née, et qui a été utilisée la première fois pour retrouver...
Oussama Ben Laden. C'est également avec un drone que la CIA a tué à grande distance le commandant iranien Qasem Soleimani. Aujourd'hui, la Syrie, la Lybie, le Yémen, l'Ukraine sont surveillés en permanence par des drones, modifiant en cela les modes d'action des combattants au sol.
Autrefois fabriqués par seulement quelques pays, désormais les drones à bas coûts sont commercialisés par la Turquie, l'Iran, la Chine, Taïwan, alors que d'autres pays dépensent des millions pour développer des lasers et autres des champs micro-ondes afin de parer à la nouvelle menace "drones", que ce soit sur un champ de bataille ou dans les villes, pour un marché estimé maintenant à plus de 100 milliards de dollars. Du coup, les militaires dépenseront plus pour des drones que pour des chars.
Ce que révèle entre autres l'enquête de Seth Frantzman est que les futures guerres seront menées surtout avec des drones et ne seront gagnées que par les pays qui disposeront de la technologie la plus sophistiquée.
L'homme d'affaires américain Bill Gates est au coeur de l'organisation de la pandémie Covid-19. Vous allez découvrir dans ce livre comment il a financé toute la presse américaine et européenne, mais également... chinoise, et cela des mois et des mois avant que la pandémie Covid-19 ne soit "officiellement" déclarée.
Mais il n'a pas financé que la presse internationale (dont Le Monde et l'AFP) !
Il a également payé (via sa Fondation Bill & Melinda Gates) les recherches sur les maladies infectieuses, recherches menées par la Chine elle-même à Wuhan, par les virologues de l'armée communiste, et cela bien avant la pandémie !
L'enquête menée sur les activités bactériologiques de Bill Gates en Chine - bien cachées pourtant - ont permis à Philippe Aimar de découvrir d'autres liens, encore plus étranges, entre les virologues de l'armée chinoise et ceux de l'armée américaine à travers des organismes officiels tels que le DARPA ou le NIAID, ou bien des pseudos ONG comme la EcoHelath de Peter Daszak. Ce dernier a simplement permis de contourner les interdictions sur les manipulations et amplifications de virus en les délocalisant en Chine et en... Ukraine !
Feng-Hsiung Hsu L'homme qui a battu Kasparov sans vraiment savoir jouer aux échecs.
La véritable histoire de l'étudiant chinois qui a fini par vaincre le champion du monde et qui a révolutionné le monde moderne avec son ordinateur Deep Blue.
Un milliard de personnes avait suivi de par le globe la bataille ultime, un match de boxe "poids lourds de la pensée" entre le champion du jeu d'échecs Garry Kasparov, symbole absolu de l'intelligence humaine, et une armoire remplie d'électronique, froide et sans âme, programmée par un étudiant chinois. L'issue du combat ne faisait guère de doutes: l'Homme allait gagner une fois de plus et renvoyer la machine Deep Blue au rayon "Quincaillerie", département qu'elle n'aurait jamais dû quitter, et humilier définitivement IBM. Mais en ce 11 mai 1997, pour la première fois dans l'Histoire de l'Humanité et depuis la maîtrise absolue de l'écriture et du calcul, une machine conçue pour "penser stratégie" allait écraser le meilleur joueur du monde, Kasparov lui-même. A partir de ce jour, qui est aussi important que celui où l'Homme a marché sur la Lune, l'Humanité a découvert, effrayée, qu'elle était désormais en présence d'une nouvelle race, un vrai concurrent, potentiellement dangereux, exactement comme dans le film 2001 Odyssée de l'Espace ou comme dans Blade Runner où des machines ont fini par prendre le contrôle des opérations sur l'homme. C'est cette histoire incroyable, irréelle, surhumaine, un véritable "remake" électronique de l'ancien récit biblique David contre Goliath qui est racontée ici par Feng Hsiung Hsu, celui-là même qui a écrit le code avec son équipe, fabriqué et assemblé toutes les pièces de cette machine mythique d'IBM et qui allait ouvrir "LA" nouvelle Ère, celle où les circuits imprimés se sont progressivement mis à penser, puis à remplacer hommes et femmes dans les entreprises. En 1997, le Deep Blue d'IBM (un RS-6000, capable d'examiner 200 millions de positions à la seconde) avait la taille d'une grande armoire normande. Aujourd'hui, les mêmes puissances de "réflexion" et de calcul tiennent sur une puce à peine de la taille d'un ongle dans votre smartphone! Imitant Dieu qui a fabriqué Adam et Eve, les enfants de ces derniers ont, à leur tour, réussi à fabriquer toute une série de "Deep Blue", des êtres/machines pour le moment asexués, mais déjà capables d'analyse et qui n'ont aucun besoin impérieux, hormis une alimentation électrique. Ce livre retrace cette aventure extraordinaire de l'Humanité. Au delà de l'aventure intellectuelle, philosophique et industrielle, ce livre montre également que dans les combats du style David et Goliath (un total inconnu abattant une sommité par l'intelligence et non par la seule force), seules la passion et la détermination permettent, de défaite en défaite, d'arriver finalement à la grande victoire.
Ce qui culpabilise une personne et l'empêche d'en parler (elle n'ose le dire à quiconque) va être caché dans son inconscient. Mais quand ce mauvais « souvenir » est réveillé, son inconscient va alors automatiquement lui créer un alibi symbolique parfaitement adapté pour exprimer ce « non-dit ».Cet alibi se manifestera par une maladie, un accident, un changement de caractère... ou bien un piercing, un tatouage, ou encore un comportement systématique. Jamais la phrase classique française « s'en rendre malade » n'a été aussi justement illustrée que par ce livre. Le Dr Thomas-Lamotte, neurologue depuis 40 ans, expose les coulisses intérieures de notre inconscient qui mènent aux accidents, maladies et autres misères et nous montre comment « guérir » et surtout « prévenir » en donnant, et expliquant, des multiples cas pratiques, réunis grâce à sa vie de médecin.Il est l'auteur des best-sellers «Et si la maladie n'était pas un hasard » ainsi que « L'interprétation des Maladies » aux éditionsLe jardin des Livreset ses interviews sur YouTube sont suivies par plus de 300.000 spectateurs.
"Du pétrole et du sang sur les murs" est l'histoire totalement fascinante de l'accession au pouvoir du prince saoudien Mohammed Ben Salmane avec des intrigues de palais dignes de Machiavel. Un livre du XXIe siècle qui nous replonge dans les manoeuvres et complots que ni Lucrèce Borgia ni William Shakespeare n'auraient reniés, mais qui nous permettent désormais de comprendre enfin les "subtilités" de la cour saoudienne (avec ses orgies, vénalités et hypocrisies) et les implications des actes de MBS sur le monde en général et le Moyen-Orient en particulier... sans même parler du prix que nous payons à la station d'essence. Un portrait impitoyable de l'assassin de Jamal Khashoggi et de bien d'autres opposants mais qui se présente comme un réformateur... libéral ! Best seller mondial.
- Le résultat du travail de Hope et Scheck est captivant Reuters "Du pétrole et du sang sur les murs" est le meilleur livre que je n'aie jamais lu sur le Moyen-Orient. Indispensable si vous voulez avoir un aperçu de l'avenir Robert Baer, ex-chef de station CIA pendant 30 ans.
- Regorge de détails révélateurs... Ce livre est particulièrement excellent en montrant les liens entre le fonds souverain saoudien et Masayoshi Son de SoftBank Financial Times Un regard fascinant sur la façon dont MBS a pris le pouvoir alors que personne ne l'a vu venir Yahoo Finance.
- Explosif ! The Times Excellent ! Forbes Un travail courageux, rigoureux et louable MoneyControl.
- Hope et Scheck nous confrontent à l'énigme d'un jeune homme qui fait du bien à son royaume tout en opérant avec cruauté et absolutisme qui donnent envie de vomir. Une lecture fascinante Robert Lacey auteur de ''The Crown''.
- Un portrait précis de l'homme et des histoires époustouflantes New York Times.
- Une descente dans un nid de vipères et un portrait effrayant du prince héritier MBS The Irish Times - Avec des détails sur la corruption à couper le souffle InsideOver Portrait alarmant d'un instable et d'un meurtrier de 35 ans Mondoweiss News
L'Apocalypse de saint Jean qui clôt le Nouveau Testament, et donc la Bible, n'a cessé depuis 2000 ans d'exercer une fascination étonnante tant par les mystères qui entourent son écriture que par les prophéties qu'il contient. Dans ses deux célèbres livres « 777 » et « 666 » consacrés à l'Apocalypse, le journaliste Pierre Jovanovic avait donné une analyse nouvelle du texte qui s'est montrée juste au point de lui permettre d'annoncer en direct à la radioIci & Maintenant, avec un an d'avance, et jour pour jour, la démission spectaculaire du Pape Benoît XVI ainsi que l'effondrement du système financier dû à l'usage de la fausse monnaie, vendue par les mensonges des médias que Jean désigne dans son ensemble comme le « faux prophète ». Voulant vérifier des détails dans une Bible, le Pr Anne-Marie Bruyant a découvert que les versions bibliques actuelles de l'Apocalypse ne sont plus que des mauvaises traductions ou adaptations de traductions plus anciennes, toutes se perdant dans la nuit des temps, faisant perdre beaucoup de sens au texte original.Et surtout que certains passages ont été censurés ou volontairement déformés pour des raisons théologiques par les prêtres traducteurs, ennuyés par certains mots.Cela l'a donc amenéeàreprendre le texte de Jean le plus ancien disponible en grec et à le retraduire entièrement. Cette nouvelle traduction est donc au plus près du texte original de saint Jean, et apporte aussi quantité d'informations fascinantes sur le contexte historique et culturel dans lequel il a été écrit, éclairant ainsi d'autres passages demeurés obscurs jusqu'à présent.